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60 – Septembre 1996 – La Yechiva. période des guéonim

EDITORIAL :

Le présent numéro de Kountrass propose au lecteur la suite du dossier « La Yechiva ». Nous couvrons ici la période des Gueonim, qui s’étend de la clôture de la Guemara jusqu’aux hautes écoles du Moyen Age. Les articles brossent un tableau de l’évolution de la Tora en Babylonie, mais évoquent aussi les débuts du développement des communautés dans les autres régions du monde juif de l’époque. Nous avons préféré pour diverses raisons nous limiter à ces cinq siècles, qui ont donné lieu à un travail de mise au point fondamental dans la transmission de la Tora. Dans la période suivante, appelée l’époque des Richonim, on assistera à des transformations d’un tout autre genre, comme nous le verrons dans le prochain numéro, si D. veut.

 

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61 – Décembre 1997 – Les Croisades

EDITORIAL :

L‘année 1996 a été marquée par le 900e anniversaire de la première Croisade : il n’était pas pensable de tourner la page sans consacrer quelques articles à cette période noire de notre histoire, d’autant plus que c’est la communauté juive de France, aux côtés de celle d’Allemagne, qui a le plus souffert de l’appel exhortant les chrétiens à aller délivrer Jérusalem. Le dossier « Croisades » que vous trouverez dans ce numéro comporte des récits de l’époque présentant des scènes parfois fort violentes ; il analyse les répercussions de ces événements traumatiques sur la Halakha ou sur la pensée juive de l’époque ; en conclusion, il s’interroge également sur l’impact réel des Croisades sur le Judaïsme européen : ont-elles vraiment provoqué des changements profonds ?

 

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62 – Fevrier 1997 – Les Richonim

EDITORIAL :

Le présent numéro de Kountrass reprend le dossier « La Yechiva » abandonné dans la précédente parution : nous avons pensé en effet que notre revue ne pouvait pas laisser passer l’année 1996, triste 900ème anniversaire du début des Croisades, sans lui consacrer un numéro spécial. Et il est vrai que ce sujet touchait la période que nous voulons traiter ici, celui du Judaïsme durant le Moyen Age. La période des Richonim est une période essentielle dans l’évolution de l’étude des Yechivoth : si les temps de construction de la Guemara forment la trame essentielle de l’étude, si les Gueonim la complètent et lui donnent sa structure, celle des Richonim en donne les clefs indispensables ! Rachi et les sages français ont créé l’appareillage indispensable à la compréhension du texte, et les sages espagnols ont amené l’étudiant en Talmud à en saisir la dimension extrême. Bien sûr, la Yechiva en tant qu’institution a également fonctionné durant cette période, mais en catimini : les jeunes se regroupaient autour du rav, et habitaient simplement chez lui, comme nous le verrons dans un article consacré à ce sujet. La « grande » Yechiva ne commence que plus tard, en réalité à la fin du XVIllème siècle, sujet que nous avons dû laisser aux prochains numéros.

 

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69 – Aout 1998 – Les sectes

EDITORIAL :

Cette fin de 20ème siècle semble bien se singulariser par un phénomène nouveau, celui d’un éveil spirituel. Nous autres, hommes de religion, ne pourrions à première vue que nous en féliciter ! En réalité, si, comme nous le montrions dans notre numéro précédent, ce renouveau s’illustre par une vague de fond de retour à la Tora, et une volonté de bouleverser les données en présence sur l’échiquier politique israélien, cette aspiration à une religiosité plus interne suscite également des phénomènes négatifs : des myriades de jeunes israéliens, troublés par ces questions, vont à la recherche d’expériences et de réponses, qui au Tibet, qui aux Indes ; en Erets Israël, d’autres opportunités s’offrent à ces jeunes, au travers de groupes  » religieux  » qui, pour la plupart, ne sont qu’un ramassis de sectes redoutables d’où l’on ne ressort pas ; des jeunes Juifs, même en France, se laissent happer par des groupes aux intentions douteuses. Ceci, pour n’évoquer que notre communauté. Quant aux enfants de tous pays… Ces démarches s’enracinent en un trouble existentiel flagrant, qui facilite l’action délétère de ces mouvements censés détenir les formules susceptibles de ramener les jeunes à la béatitude paradisiaque perdue. Cet ensemble de faits, comme l’inquiétude et les périls qui en découlent, ont amené notre rédaction à concevoir un numéro spécialement consacré au phénomène des sectes.

 

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70 – Octobre 1998 – Le divorce dans la Tora

EDITORIAL :

Le présent numéro, dont le sujet central est  » le divorce dans la Tora « , s’attache à faire le tour d’un sujet délicat, qui intervient dans un contexte humain douloureux au possible, à savoir celui des couples qui sont acculés à la rupture. Nous voulions parler à ce propos technique et Halakha, mais il est bien évident que nous avons été amenés à nous pencher également sur les efforts déployés pour ramener le Chalom bayith dans les familles en crise, tant dans la théorie que dans la pratique, et, d’un autre côté, nous nous sommes intéressés aux principales victimes de séparations, à savoir les femmes. Un organisme nommé A `hayoth tente, à Jérusalem, de les aider dans leur isolement, et ce souci méritait très certainement que nous lui consacrions toute notre attention. Et qui se charge de courir après les maris récalcitrants ?

 

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71 – Janvier 1999 – Terre de pèlerinage

EDITORIAL :

Faire du tourisme en Erets Israël — c’est le programme que s’assignent beaucoup de nos correligionaires lorsqu’ils habitent à l’étranger, et bien plus souvent lorsqu’ils résident dans le pays. Il y a la plage, et il y a la montagne. Et il y a les pèlerinages : l’imposant passé historique d’Erets Israël a laissé de très nombreux sites renommés, qui attirent de nombreux visiteurs, religieux ou non, tandis que les innombrables anciennes tombes des plus hautes personnalités de notre peuple intéressent beaucoup de gens qui désirent épancher leur âme, ainsi qu’a été fait de génération en génération en ces lieux de sépultures de nos grands Maîtres. Cette branche très particulière du tourisme n’est pas le fait du grand public, et les ouvrages qui lui sont consacrés ne sont pas très connus. Nous avons donc pensé intéressant de consacrer un dossier à ce sujet, pour permettre à nos lecteurs de découvrir et d’accéder eux aussi à ces lieux. La question de leur identification a aussi retenu notre attention, d’autant plus que certains organismes se consacrent encore aujourd’hui à la réfection et à l’entretien de ces vieux sites. Comment sait-on de nos jours identifier formellement un lieu de sépulture ? Quelle tradition précise nous permet-elle d’affirmer que tel ou tel Sage, décédé il y a deux millénaires, a trouvé le repos dans un des endroits les plus reculés des forêts galiléennes ?

 

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72 – Mars 1999 – Le judaisme allemand d’aujourd’hui. interview du rav Ravitz

EDITORIAL :

Une grande enquête sur le Judaïsme allemand nous amène à parler de nos voisins – non sans une certaine angoisse. L’occasion nous est donnée ici de constater à quelle catas-trophe peut arriver une communauté dépourvue de structu-res solides. On trouve là un exemple cuisant du chaos qui frappe la plupart des communautés européennes auxquelles manque toute organisation interne…
Nous n’en avons pas encore terminé avec le dossier sur « Le Christianisme vu par les Juifs » lancé dans notre précé-dent numéro. Nous n’y avions abordé alors que l’aspect théorique du sujet, et jeté un regard vers le passé. L’actua-lité reste cependant incontournable, et les Juifs qui rési-dent en Erets Israël offrent une cible particulièrement atti-rante pour de nombreux missionnaires chrétiens, et cela plus encore quand, à l’approche de l’an 2000, ceux-ci vien-nent à être pris d’une véritable frénésie. Aussi nous a-t-il paru important de découvrir ce qui se passe ici, sur le terrain, en Erets Israël.

 

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73 – Juin 1999 – La cacherouth – nouveaux horizons

EDITORIAL :

Le sommaire du présent numéro est de ce fait composé de divers articles quelque peu disparates. Le rav Moché Kaufman publie ici un extrait, adapté par nos soins, d’un livre important dont il est l’auteur, contenant des réflexions sur des problèmes touchant à l’éducation. Cette personnalité française, qui dirige un Kollel à Bené Braq, est connue pour ses ouvrages publiés dans le domaine des lois concernant l’usage de la parole et dans celui de la pédagogie juive. Le sujet de cet extrait est tout à fait d’actualité, puisqu’il aborde le thème de la destruction du Temple, mais il déborde en fait sur des problèmes touchant à notre façon de nous conduire envers autrui, ce qui nous concerne au plus haut point.
Un autre article, qui présente l’évolution de la Cacherouth à notre époque, nous fera découvrir des aspects peu connus de ce domaine dont l’importance nous touche pourtant si quotidiennement…

 

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74 – Septembre 1999 – 50 ans au service du Judaisme francophone : Ozar haTorah

EDITORIAL :

La Seconde Guerre Mondiale a laissé le judaïsme européen brisé et meurtri. La majeure partie de ses enfants avait disparu dans la tourmente. Dans le même temps, l’effondrement spirituel dont souffraient les communautés d’Afrique du Nord et d’Asie mineure se poursuivait à pas de géant. Encore quelques années, et il ne res-terait plus rien des traditions juives autrefois florissantes de ces pays. Les synagogues se vidaient, les enfants quittaient la communauté. La Tora gisait dans un recoin abandonné du lieu de prières, et la poussière s’accumulait sur ses ouvrages. Quelques hommes se sont dressés, et ont sauvé la situation : un Juif polonais en Iran, un Juif libanais, ainsi qu’un autre, d’origine lituanienne dirigeant d’une Yechiva, aux Etats-Unis, un Juif hongrois au Maroc, et tous ces gens de bonne volonté ont lutté opiniâtrement, contre vents et marées, pour redonner vie à l’éducation juive dans le monde séfarade, d’abord en Perse, ensuite au Maroc, puis, par ricochet, en France. Ils ont créé des écoles, engagé des enseignants et des directeurs, et géré toutes les difficultés humaines que cela comportait. Pour pouvoir trouver les budgets de ces institutions, et y perpétuer ainsi l’enseignement du judaïsme, ils ont dû collecter des millions et des millions de dollars, le tout, sans que personne n’ait connaissance de leur dévouement et de leur grandeur.

 

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75 – Novembre 1999 – Les autistes parlent !

EDITORIAL :

Pour la présente parution, donc, nous avons choisi de rouvrir le dos-sier  » Autistes « , auquel nous avons déjà consacré un article (KouNTRAss n° 39), tant ce phénomène a reçu ces dernières années d’intéressants éclaircissements et a donné lieu à de nouvelles expériences.  » Etude de la Tora et travail  » – voilà un sujet explosif dont il suffit de murmurer le titre pour que se tendent les oreilles et qu’éclate le débat… Un texte du rav Kaufmann nous a semblé aborder la question d’une manière remarquable, et il nous a autorisés à publier son analyse en exclusivité dans nos colonnes. L’article intitulé  » Les services secrets de Bouqi  » nous fait pénétrer par un tout autre biais dans le monde de l’adolescence et de l’étude de la Tora, celui des jeunes qui éprouvent précisément quelques difficultés dans leur étude : qu’il aille travailler, dira-t-on justement. Eh bien non ! D’abord parce que ce jeune, à l’instar de tant d’autres, sait très bien combien peut procurer d’équilibre et de calme l’étude de la Tora, et aussi parce qu’aujourd’hui, contrairement à ce qui pouvait se pas-ser dans les générations précédentes, le monde des Yechivoth refuse la démission ! De grands efforts sont faits, dans de nombreux domaines et sous de nombreuses formes, pour aider les jeunes en difficulté ou en crise à se comprendre mieux ou à trouver qui pourra les aider à retrouver le plaisir dans l’étude.

 

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