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192 – Janvier 2016 – La tribu des Kohanim

Couverture du magazine Kountrass Famille 192

Le miracle de ce Hannouca

Hannouca est le temps des miracles, et l’impact de l’évènement plus de deux fois millénaire reste toujours réel. Est-ce de la sorte que nous devons considérer les événements qui se sont déroulés en France le dimanche, jour de l’allumage de la 7e bougie de ‘Hannouca, avec la relative défaite de l’extrême-droite ? C’est dans le fond difficile à dire : ce parti n’a pas hésité, sous la direction de Le Pen père, à pénétrer dans ce marécage fangeux de l’antisémitisme ; mais les temps ont changé, et la fille du précédent a tenté de blanchir le parti et d’abandonner cette mauvaise disposition à notre égard – tout en conservant une opposition farouche à « l’invasion musulmane » en France, et c’est ce qui lui a donné sa force au premier tour des élections. Il n’est pas facile de décider si le FN allait savoir se maintenir sur cette position – contre les Musulmans, mais peu opposé aux Juifs –, ou si finalement, un glissement risquait de se produire, que D’ nous en protège – et Il nous en a donc protégés ! Pour l’instant – puisqu’en termes de nombre de voix, le FN s’est très fortement renforcé. Or il est vrai que sur le plan des relations avec le pouvoir, la présence d’un tel groupe dans les instances dirigeantes du pays aurait pu probablement gêner tout ce qui concerne la bonne gestion des écoles juives et des autres affaires dépendant des responsables publics. Quiconque rencontre des questions de cet ordre sait pertinemment que, par exemple, la présence de « Verts » à divers postes-clés peut dangereusement entraver toute chance de trouver une oreille attentive aux besoins de notre communauté. La communauté juive, donc, peut voir dans le sursaut, au dernier moment, des électeurs un élément important pour la vie des Juifs en douce terre de France. De fait, l’inquiétude présente depuis quelque temps dans les rangs de notre communauté va plus que probablement se calmer, l’avenir semblant se profiler d’une meilleure manière. Et ce, d’autant plus que la gauche, qui n’a vraiment pas favorisé le développement économique du pays ces dernières années, paraît elle aussi s’approcher de la fin de son mandat

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191 – Décembre 2015 – L’heure de l’épreuve

Couverture de Kountrass 191

L’heure de l’épreuve…

Adire vrai, le présent Grand Dossier était déjà prêt lors des attentats de Paris. La situation en Terre sainte justifiait à elle seule notre attention : que doit-on penser des événements actuels quand on veut suivre le chemin de la Tora ? Nous avons rapporté le message de rav Schakh zatsal, lequel refusait que l’on se tourne vers des interprétations apocalyptiques, et indiquait comme seule direction à suivre celle de la remise en question de nos actes, et du repentir. Nous avons montré que les attentats de Paris devaient eux aussi nous conduire à une réflexion sur nous mêmes, tant le prophète s’exclame déjà (Tsefania/Sophonie 3,6) : « J’ai anéanti des nations, leurs tours fortifiées sont en ruines ; J’ai dévasté leurs campagnes, qui ne voient plus de passants, leurs villes sont ravagées, abandonnées de tous, dépeuplées. » Une situation présentant des ressemblances avec celle que nous connaissons actuellement ! Qu’attend l’Eternel de notre part, après cela ? « Je disais : « Si seulement tu Me craignais et acceptais une leçon ! » » Nous laissons le lecteur découvrir les divers articles consacrés à ce sujet dans le présent numéro, y compris une intéressante description de l’historique de nos relations avec les Arabes durant le dernier siècle. Il nous semble toutefois approprié d’ajouter ici un point, qui ne contredit pas en fait ce qui est dit dans les pages qui suivent sur l’obligation de techouva. Le monde entier ne cesse de s’en prendre au peuple juif habitant à Sion. Il lui reproche sa conduite « impérialiste » envers les Arabes, exige un retrait des « territoires occupés », indique même déjà l’origine des produits, quand ils s’avèrent en provenance desdits territoires afin de faciliter leur boycott, accorde à la tombe de notre matriarche Ra’hel un narratif nouveau, lié à un quelconque sheikh arabe, et le reste à l’avenant.

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38 – Janvier 1993 – La communauté juive de Tanger

Suite au décès de rav Elkaïm z. ts. 1., survenu à la veille de Roch haChana de cette année, nous publions dans ce numéro plusieurs articles liés à la vie et à l’itinéraire de cette person­nalité hors du commun, qui fut l’un des cadres francophones orthodoxes marquants de notre époque. Outre un article retraçant sa biographie et un autre composé de notes d’une de ses dernières conférences, le lecteur trouvera un bref historique du Foyer de la rue Médicis, le
premier restaurant universitaire « cachère » à Paris, à la création duquel le rav Elkaïm apporta son concours ; il découvrira aussi que la personnalité de rav Elkaïm fut particulièrement liée à la communauté orthodoxe de Tanger qui connut de beaux jours entre les années 1952 et 1967. Au cours de nos recherches pour faire revivre l’histoire des institutions juives tangéroises, nous nous sommes rendus compte qu’en fait aucun ouvrage n’a été écrit jusqu’à présent sur ce centre pédagogique qui a pourtant formé une bonne partie des cadres  toraniques francophones séfarades.
Dans un tout autre registre, une enqu8te nous a permis de découvrir les secrets halakhi­ques des célèbres caves de Carmel Mizra’hi avec son rav, le rav Yanowsky. Le mystérieux système des « codes » dans la Tora constitue un sujet qui passionne nombre de nos lecteurs et sur lequel nous avons été maintes fois sollicités : nous consacrons ici à nouveau une  brève étude à ce domaine qu’on commence à peine à explorer.
Un article de Halakha traite de Pourim -et de ses deux (ou m8me trois) jours de fetes.
Enfin, un abondant courrier des lecteurs complète de manière vivante notre présente parution.

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40 – Mai 1993 – Hommage a Rav Hajkin zatsal. la Tora et la pédagogie moderne.

Le numéro quarante de Kountrass para1t quelques jours après la disparition du rav ‘Hayim Yits’haq Chajkin ? »:îT, qui fut à partir du lendemain de la Seconde Guerre mondiale le roch yechiva d’Aix-les-Bains. Nous publions ici quelques pages retraçant l’oeuvre remarquable de bâtisseur que cette grande personnalité tor.anique a accomplie durant les quarante et quelques années qu’il vécut en France.
C’est Moscou qui attiré notre attention en ces périodes qui troublent la Russie : notre envoyé spécial s’y est rendu avant Pessa’h pour prendre connaissance de la situation du judaïsme russe actuel ; il en est revenu avec d’intéressantes descriptions d’un judaïsme qui est en train d’émerger du silence dans lequel il a été enseveli par 70 ans de communisme. Nous visiterons avec lui la Yechiva la plus dynamique de Moscou aujourd’hui et ferons connaissance avec quelques-uns de ces jeunes qui ont quitté au prix de grands sacrifices leur famille et leur société pour se lancer dans une voie si éloignée de la mentalité russe, celle de la religion ! Cette enquête nous mènera égale­ment dans la Grande synagogue de Moscou, où Kountrass recueillera une interview exclusive du rav de toute la Russie, le jeune et enthousiaste rav Pin’has Goldschmidt.
D’autres articles prennent place dans ce numéro, tel celui sur la « Tora et la pédago­gie moderne », dû à la plume d’un des grands éducateurs contemporains décédé voici quelques années, rav ‘Hayim Friedlander ? »:îT, tandis que certains de nos lecteurs, de leur côté, nous ont fourni, par leurs intéressantes questions, matière à plusieurs expo­sés dont nous espérons que chacun profitera.

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37 – Novembre 1992 – Le « jour » dans la Tora

Et s’ils avaient raison ?

Le numéro 37 de Kountrass inaugure la septième année de notre revue et nous souhaitons que notre travail continue à se développer et à satisfaire nos lecteurs.
Profitons de l’occasion pour remercier les nombreux amis et abonnés qui ont bien voulu nous consacrer quelques moments et répondre au questionnaire que nous leur avons fait parvenir. Nous espérons d’ici le prochain numéro recevoir la majorité des réponses, les dépouiller et parvenir grâce aux conseils des uns t#t aux remarques des autres à dessiner le profil de nos lecteurs. Somme toute, Kountrass étant une véritable innovation dans le domaine de la littérature juive contemporaine, toutes langues confondues, c’est uniquement en restant attentifs à la voix des lecteurs eux-mêmes que nous pouvons savoir dans quelle direction ils souhaitent que notre revue se développe.

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190 – Novembre 2015 – Bientôt, à Jérusalem

Couverture du magazine 190 de Kountrass

Et s’ils avaient raison ?

Le mouvement actuel qui s’est développé chez les Arabes en Erets Israël présente quelque chose d’assez surprenant : ils justifient leurs actes par l’imminence de l’invasion du Mont du Temple par les Juifs.. Les jeunes Arabes sont prêts à se faire tuer pour contrer une telle intention. Or, ce prétexte apparaît totalement faux ! Il ne fait aucun doute au monde, pour toute personne censée, que le gouvernement israélien, tout éloigné de la Tora qu’il est, ne pense à aucun moment amorcer une telle entreprise, d’autant plus qu’il sait bien que cela entraînerait un vrai djihad globalisé, impliquant un milliard d’Arabes, qu’une telle cause trouverait prêts à s’engager pour faire disparaître la présence juive dans le pays ; les religieux n’envisagent pas plus une telle démarche, tout à fait conscients de la reconstruction du Troisième Temple par voie divine ; elle s’avérerait en tout cas impossible de nos jours ; il reste peut-être quelques excités, mais qui les écoute-t-il ? Et la France y croit aussi, elle qui propose la mise en place d’une force internationale sur le Mont du Temple… Alors, pourquoi ces jeunes Arabes se font-ils tuer ? Nul doute que ce mouvement ne repose pas plus que sur l’une des dernières initiatives des dirigeants palestiniens, avec Abou Mazen à leur tête : ils sentent qu’ils perdent du terrain et, pour parer à cette situation, ils ont lancé cette tentative d’intifada Al Kouds [Ces « Juifs et leurs pieds sales (qui) souillent le sol sacré de l’esplanade », disait Abou Mazen ; pas moins ! Le style demeure assez connu…].

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189 – Octobre 2015 – Nos juges

Kountrass

Instille la crainte devant Toi…

La question est lancinante : nous prions durant les fêtes austères pour que la Gloire divine Se révèle sur tous ceux qui vivent sur terre, afin que « toute personne qui a une âme en son corps reconnaisse que D’, l’Eternel des Juifs, est Roi, et Sa royauté domine tous les éléments du monde », et décrivons alors la joie qui se répandra dans le monde quand cela se réalisera, sur Sa terre, dans Sa ville, parmi les justes et les hommes droits. Mais pourquoi est-ce précisément dans la troisième bénédiction que cette prière est exprimée ? Elle eut pu trouver sa place de manière plus normale dans la bénédiction médiane, celle consacrée à la narration de la nature de ces journées que nous vivons alors. Cette troisième bénédiction est consacrée à une notion particulière : celle de la sainteté de l’Eternel, qui dépasse totalement les contingences du monde. La Qedoucha. On y dit d’ailleurs, à la répétition de la ‘Amida, la « Qedoucha », décrivant, suivant des versets des Prophètes, la sainteté trois fois répétée de l’Eternel, Qui remplit le monde – bien qu’en un second temps, nous déclarons avoir perdu la capacité de situer cette qualité divine, car nous ne sommes pas en mesure de la retrouver dans le cadre limité qui est le nôtre, celui fort restreint du monde matériel. Même les anges en sont là, car, eux aussi, malgré leur absolue finesse spirituelle, ne sont que des créatures, et ne peuvent pas, par définition, arriver à découvrir la « place » de l’Eternel. Il n’a pas de « place ». Il nous semble que la réponse est la suivante : il n’y a pas de qualité plus élevée et plus forte que celle de la sainteté, de la Qedoucha. Elle correspond à une élévation totale au dessus de toutes les contingences matérielles, avec tout ce que le monde peut tenter de nous proposer, dans tous les domaines par lesquels il veut nous attirer vers le bas. L’Eternel est situé de manière absolue au-dessus de tout cela, et ne peut en aucune manière être concerné par les petitesses et les médiocrités du monde. Or réfléchissons un instant : où nous situons-nous sur cette échelle ? Pouvons-nous affirmer qu’en aucune manière le monde et ses plaisirs ne nous attirent ? Bien rares sont les gens parvenus à un tel niveau… Toutefois, un Juif est conscient de l’importance d’une telle conception : le monde est vil, ce qui peut nous attirer vers lui n’est que passions temporaires et déchéance, et nous passons notre vie à tenter de nous en écarter.

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188 – Septembre 2015 – Yom Kippour

Couverture magazine juif Kountrass 188

« C’est que tout le malheur dont j’avais peur fond sur moi ; ce que je redoutais vient m’assaillir »

(Iyov/Job 3,25)

Il est difficile de comprendre la position de l’Occident, surtout des Américains, tout au cours de leurs discussions avec les Iraniens quant au désarmement de leur pays et au lever des sanctions contre eux. Même si quelques vérifications pourront être effectuées, il ne fait aucun doute que, pour un tel pays, les engagements n’ont strictement aucune signification, et que leur parole de « cesser les activités terroristes » est nulle et non avenue. Au contraire, les énormes fonds qui pourront sous peu (le sénat américain a encore son mot à dire toutefois) arriver à nouveau en Iran vont permettre un éclatement terrifiant du travail de sape effectué par le pouvoir des Ayatollahs partout dans le monde, à faire se proliférer le terrorisme et la violence, à détruire l’Occident et à annihiler ses valeurs. L’Iran se cache derrière le Hezbollah, donc prend part aux violences frappant depuis quelques années la Syrie et le désordre chronique au Liban, ce pays soutient le ‘Hamas, il sous-tend de nombreux troubles dans d’autres pays encore, et, à présent, l’angoisse étreint l’Arabie Saoudite en particulier, face au risque que ce pays parvienne à la force atomique. Cette montée de l’une des branches de l’islamisme fondamentaliste menace finalement les Etats-Unis eux-mêmes de manière directe, le « grand satan », comme on les traite en Iran. Si nous nous en tenions à l’histoire telle qu’elle apparaît à nos yeux, nous serions amenés à dire que vraiment tout cela ne tient à pas grand-chose : à un président américain quelque peu naïf, avec une dose – dont la mesure est encore à préciser – de sentiments positifs envers l’islam, auquel s’ajoute un secrétaire d’Etat intéressé, autant que son chef, à laisser dans l’Histoire le souvenir de ceux qui ont enfin « fait la paix » avec l’Iran. En filigrane, il se peut qu’un sentiment de vengeance envers Netaniahou soit décelable également.

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187 – Juillet 2015 – Les Sages de Provence

Kountrass numéro 187

Israël reste à la FIFA !

 

Le drame se finit bien : Israël n’est pas exclu de la FIFA, malgré la demande palestinienne. Nous voilà rassurés. Pour ceux de nos lecteurs qui ne sauraient pas ce qu’est la FIFA, c’est la Fédération internationale de football, une association mondiale fondée en 1904. Les Palestiniens ont amorcé une manoeuvre visant à exclure Israël de cet organisme, engendrant une sorte d’excommunication d’Israël de la communauté globale. Israël a déployé d’énormes efforts pour parvenir à contrer cette action, ce qui s’est finalement soldé par un retrait de la proposition palestinienne – laquelle semblait de toute façon ne pas avoir grande chance de succès. Il ne fait aucun doute que toute manoeuvre en provenance de nos ennemis les plus proches est toujours inquiétante, quand bien même se passerait-elle sur un terrain relativement tranquille, celui du football. Il en va d’un principe, celui du respect d’autrui, et, en effet, si cet organisme avait rejeté Israël de ses rangs, cela aurait prouvé quelque chose de très gênant pour un groupe censé s’occuper du sport, et uniquement de cela. Aucun de nos lecteurs n’a de doute, toutefois, quant à notre intérêt personnel pour des jeux sportifs professionnels : si l’on ne peut qu’encourager le sport à titre individuel, on ne peut, en revanche, que déplorer le temps perdu par les gens et l’attention portée à de tels loisirs lorsque le sport est pratiqué à un niveau professionnel. Et quand on voit notre peuple s’investir dans ce domaine avec tant d’enthousiasme, on ne peut que le regretter : est-ce la destinée du peuple juif que de s’investir dans la recherche du panem et circenses – du pain et des jeux de cirque, comme la plèbe romaine ?

 

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186 – Juin 2015 – Israel parmi les nations

Revenons à la vie courante…

 

Nous voici après la fête de Chavou’oth, et nous revenons à présent à la vie courante. Que devons-nous conserver en notre mémoire de ces jours spécifiques ? La Guemara (Pessa’him 68a) rapporte que rav Yossef disait le jour de Chavou’oth : « Préparez-moi un agneau de qualité, car si ce n’est ce jour qui l’a entraîné, combien de Yossef peut-on trouver sur le marché ! » Ce Sage de la Guemara voulait ainsi marquer sa reconnaissance envers l’Eternel pour avoir donné au peuple juif le jour de Chavou’oth, avec le don de la Tora, car sans ce moment exceptionnel, que serait-il devenu ? Des gens qui portent son nom, Yossef, abondent sur le marché, mais des « rav » Yossef, non ! Rachi explique que ce jour, jour du don de la Tora, « m’a grandi ». Rav Chéchet, pour sa part, est rapporté dans ce même texte de la Guemara comme disant à son âme de se réjouir : « Réjouis-toi, mon âme, réjouis-toi, mon âme, car j’ai appris les versets pour toi, et j’ai appris les textes talmudiques pour toi ». Le Maharcha explique cette redondance de l’expression « réjouis-toi, mon âme », comme faisant allusion aux divers niveaux de l’âme ainsi que l’explique le Rambam dans ses Huit Chapitres (introduction au traité Sanhédrin). Toutes les composantes de la personnalité sont concernées par l’étude de la Tora, et peuvent en ressentir l’impact. Au contraire, c’est la raison pour laquelle, selon le Beth haLévy (par. Yitro), nous sommes tenus de bien manger ce jour-là, comme le dit la Guemara (id.) : « Il faut également vous occuper de vous-mêmes », ne pas jeûner, mais effectuer des repas importants. Les anges, rapporte ce rav, ont demandé que la Tora leur soit donnée (Chabbath 88b, et Tehilim/Psaumes 8,2) : « Eternel, notre Seigneur ! Que Ton Nom est glorieux par toute la terre ! Car Tu as répandu Ta majesté sur les cieux. » L’Eternel a demandé que Moché leur réponde, ce qu’il fit en leur disant qu’ils n’avaient pas de côté matériel, et que donc nombre des mitswoth de la Tora, justement dirigées vers l’aspect physique des créatures, ne pouvaient les concerner.

 

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