prophétie

59 – Juillet 1996 – La Yechiva

EDITORIAL :

Ce numéro de Kountrass vous parvient pendant les fêtes, à l’heure où l’ensemble du peuple juif élève sa prière et forme des voeux pour être inscrit dans le Livre de la Vie — et nous souhaitons à tous nos lecteurs qu’il en soit ainsi pour eux.
Dans la présente parution, nous publions le premier pan du dossier consacré à « La Yechiva ». Bien sûr, ce thème nous sert de prétexte pour retracer l’histoire d’un phénomène sans pareil : le développement de la Tora orale. En effet, c’est dans l’enceinte de la « Yechiva » que l’interprétation de la Tora écrite s’est structurée et les textes ainsi générés constitueront désormais la matière étudiée dans toutes les futures Yechivath à travers le temps et l’espace. Nous avons donc consacré de longues pages à l’histoire de la formation de la Michna, puis de la Guemara, tant celle rédigée à Jérusalem que celle de Babylonie, — sans oublier l’ancien et vénérable Beth haimidrach de Chem et ‘Ever. Un chapitre est également consacré à la période où la prophétie existait encore dans le peuple d’Israël, et où par conséquent des questions d’interprétation des textes pouvaient être résolues par un recours au prophète, avec les problèmes que cette intervention soulève.

 

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91 – Septembre 2002 – La Tora a raison !

EDITORIAL :

Nous avons eu l’occasion, dans les précédents numéros de Kountrass, de nous pencher sur nos sources pour tenter d’en tirer des éléments permettant de comprendre la période actuelle. Nous avons été ainsi amenés à examiner la nature du conflit Israël-Yichmaël, essayant de voir s’il pouvait s’inscrire dans la masse d’informations que nos Prophètes et nos Sages ont reçues de la Source suprême d’inspiration, et si l’ensemble des événements se déroulant sous nos yeux ne devait pas être compris dans ce que nous avons nommé la « Fin des Empires ». Afin de mieux comprendre aussi l’atmosphère tendue et lourde dans laquelle le peuple juif est à nouveau plongé depuis quelque temps, nous avons étudié dans un premier temps les voies utilisées par la Providence divine pour intervenir sur terre, puis nous avons entrepris de démontrer l’existence d’une Alliance entre Hachem et Son peuple, dont l’application ne cesse de marquer l’histoire d’Israël à travers les générations, se manifestant en particulier par l’antisémitisme. A ce stade, nous aimerions marquer une pose, et nous interroger sur les modalités de notre démarche : n’avons-nous pas là, en parcourant ces textes, admis et pu tirer de nos sources des indications précises et surprenantes en qualité, qui semblent bien prouver que l’axe que suit l’histoire de notre peuple, ainsi que les grands empires, ont été prévus il y a plusieurs millénaires ?

 

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167 – Juillet 2013 – Eliahou Hanavi

Les derniers « birourim » (les dernières épurations)…

D’une certaine manière, la période actuelle est très positive ! Les ouvrages saints disent qu’à la fin des temps, une période de « birourim », de « tirages au clair » de nos positions, aura lieu. Chacun sera alors obligé de clarifier sa foi, sa conduite et son adhésion à la Tora. Les difficultés d’une telle période seront telles, que nos Sages ont pu écrire sur la période pré-messianique : « Qu’elle arrive, mais que je ne sois pas là pour la voir ! » (Sanhédrin 98b). Quand on pense à la Shoah, qui était de l’avis de tous l’une des phases de la période pré-messianique, on peut comprendre cette expression de nos Sages sans difficulté aucune : peut-on imaginer période plus redoutable que celle-ci ? Toutefois, le Machia’h n’est pas venu. Plus encore : nous sommes confrontés à d’immenses difficultés et à des épreuves redoutables. D’une autre nature, toutefois. Il semble que ses difficultés peuvent être classer en deux catégories : celles nous frappant du côté des taavoth (des tentations, plaisirs physiques), et celles nous attaquant du côté de la foi, nous amenant à nous demander si notre voie est réellement la bonne, et en tout cas nous forçant à déployer un très grand dévouement pour pouvoir continuer sur notre lancée.

 

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8 – Janvier 1988 – La Prophétie – Jérusalem, à qui ?

Alexandre Aisenshtal

Alexandre Aisenshtal est un jeune peintre israélien, originaire d’URSS. Né à Léningrad dans une famille classique de l’intelligentsia russe ( son père est un avocat connu de Moscou), il a reçu une formation artistique dans ce pays, avant qu’une démarche de retour à la tradition juive ne l’amène, il y a quelques années, jusqu’en Erèts Israël. Une inspiration profonde et originale, une technique intéressante, où l’aquarelle est soutenue par le dessin à l’encre, donnent à son œuvre une atmosphère particulière, et en font l’un des espoirs de la jeune peinture israélienne. Il a accepté d’illustrer notre dossier sur la prophétie, avec ce dessin ci-dessus, et celui qui figure en introduction à l’article sur les préparatifs à la prophétie.

 

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