mitswa

122 – Octobre 2007 – Le Talith

EDITORIAL

Dans le présent numéro, le 122e de notre magazine, nous avons voulu nous pencher sur l’une des mitswoth les plus fréquentes de la Tora, celle des tsitsioth, qui consiste à fixer des fils spécifiques aux quatre coins de nos vêtements quand nous portons ce type d’habits. Si nos vêtements ne comportent pas quatre coins, il est recommandé de chercher à s’en revêtir, afin d’accomplir cette mitswa. Quel est le sens de cette obligation ? Le rav Hirsch nous expliquera le sens symbolique qui sous-tend cette mitswa.
Le Machia’h n’est pas loin, de l’avis de tous ! C’est pour nous l’occasion d’aborder à nouveau ce sujet, en clarifiant mieux certains aspects que nous n’avons pas suffisamment expliqués lorsque nous avons abordé le thème de la venue du Machia’h et de la guerre de Gog et de Magog dans nos précédents dossiers. Ces deux événements ne seront pas anodins et limités dans leurs effets. Ils font partie du plan d’ensemble du monde que l’Eternel a prévu dès la Création, et permettront à l’humanité de réaliser son tiqoun, c’est-à-dire d’accomplir et de parachever son Histoire. Nous ne pouvons qu’espérer que ces événements surviennent le plus tôt possible, de nos jours et de notre vivant, tout en sachant qu’ils nous mettront devant des changements bouleversants, et qu’ils augureront une période totalement différente de la nôtre : le monde redeviendra celui d’Adam harichon avant la faute!
Mais pour l’instant, nous avons besoin de la pitié et de l’aide de la Providence divine ! Quel meilleur lieu de prière pouvons-nous trouver que la tombe de notre ancêtre Ra’hel, dont le Yahrzeit tombe le 11 ‘hechwan ? Nous avons donc consacré quelques lignes à l’histoire de ce site si important pour notre peuple, là où « mamé » Ra’hel repose, priant pour ses enfants.

 

Logo de Kountrass

 

En lire plus

130 – Février 2009 – La Mila

Editorial

Le présent numéro du magazine est consacré, pour sa plus grande part, à l’une des mitswoth les plus fondamentales du judaïsme : la Mila. Accomplie à l’âge de huit jours chez les enfants nés juifs, cette mitswa correspond à l’entrée dans le monde de la Tora pour les garçons, marquant dans leur chair l’Alliance que l’Eternel a conclu avec Avraham et sa descendance. Nous avons donc tenu à nous interroger sur la signification de cette mitswa, à l’aide des textes de la Michna, puis en passant en revue les avis de nos grands Maîtres. Mais il n’était pas possible d’éviter de se questionner sur la position négationniste des auteurs grecs et latins à cet égard, relayée par la suite par des écrivains spécialisés dans leur opposition au judaïsme tel Voltaire : pour eux, la Mila est une habitude que les Hébreux auraient apprise de l’Egypte ! Notre analyse nous prouvera que rien n’est neuf sous le soleil, et que dès l’Antiquité, quand il est possible de refuser au judaïsme ses valeurs et ses expériences historiques et prophétiques – la Mila ne repose pas moins que sur une Alliance que le Créateur du monde a scellée avec Avraham notre ancêtre –, les Nations le feront. Nos Sages n’ont-ils pas dit que, dès le jour où le peuple juif a reçu la Tora, une grande haine contre notre peuple s’est répandue parmi les Nations ?

 

Logo de Kountrass

 

En lire plus

Vers le Haut