cacherouth

73 – Juin 1999 – La cacherouth – nouveaux horizons

EDITORIAL :

Le sommaire du présent numéro est de ce fait composé de divers articles quelque peu disparates. Le rav Moché Kaufman publie ici un extrait, adapté par nos soins, d’un livre important dont il est l’auteur, contenant des réflexions sur des problèmes touchant à l’éducation. Cette personnalité française, qui dirige un Kollel à Bené Braq, est connue pour ses ouvrages publiés dans le domaine des lois concernant l’usage de la parole et dans celui de la pédagogie juive. Le sujet de cet extrait est tout à fait d’actualité, puisqu’il aborde le thème de la destruction du Temple, mais il déborde en fait sur des problèmes touchant à notre façon de nous conduire envers autrui, ce qui nous concerne au plus haut point.
Un autre article, qui présente l’évolution de la Cacherouth à notre époque, nous fera découvrir des aspects peu connus de ce domaine dont l’importance nous touche pourtant si quotidiennement…

 

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76 – Janvier 2000 – Le Judaisme d’Algérie

EDITORIAL :

Voici donc enfin ce dossier longtemps annoncé sur les Juifs d’Algérie. Nous avons finalement été contraints de le diviser en deux parties, tant les sources étaient nombreuses. Disons aussi que l’intérêt des lecteurs peut parfois s’étioler lorsque nous consacrons tout un numéro à un sujet ou à une communauté spécifiques. Nous avons donc tenu à publier quelques autres textes, afin d’assurer un certain équilibre à notre publication.
La première partie du dossier sur le judaïsme d’Algérie, qui paraît dans ce numéro, est consacrée à une grande fresque historique. Nous aurions pu la présenter de manière plus concise, mais nous nous sommes rendu compte au fur et à mesure de la préparation du dossier, qu’en fait le volet consacré aux périodes anciennes concernait les trois grands pays d’Afrique du Nord, voire la Libye et l’Egypte, et nous avons donc jugé bon de nous y attarder. La seconde considération qui nous a incités à cette relative prolixité a été la présence successive en Algérie de trois grands Sages : le Rivach, le Tachbets et rabbi Yehouda Ayache. Ils comptent tous les trois parmi les figures les plus marquantes de notre peuple, et l’occasion était trop bonne de leur consacrer une biographie complète.

 

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82 – Janvier 2001 – Le rav Hirsch zatsal

EDITORIAL :

A l’occasion de la parution du deuxième tome en langue française u commentaire de rav Samson Raphael Hirsch sur le Pentateuque, édité sous l’égide de notre revue, il nous a paru intéressant de consacrer l’essentiel d’un numéro du magazine à cette personnalité marquante du Judaïsme moderne. Comme chef spirituel d’une communauté frappée bien plus profondément que les autres par l’assimilation et flanquée de toutes parts de lieux de culte réformé, rav Hirsch a été probablement la première autorité rabbinique de son siècle à avoir su trouver une réponse adéquate aux interrogations que suscitait l’émancipation. C’est sous sa direction que la communauté d’antan a commencé à reprendre du terrain et qu’elle a entrepris de remonter la pente sur laquelle elle se laissait glisser. Alors que, sur tout le continent européen les communautés juives perdaient de leur influence et que les Juifs cherchaient à se fondre dans leur environnement direct, rav Hirsch a réussi en Allemagne ce que l’on pourrait appeler un coup de maître.

 

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119 – Avril 2007 – Difficile Cacherouth…

La Cacherouth de la viande

Pour la présente livraison, nous avons choisi de rejoindre les abattoirs pour y découvrir pourquoi la viande que nous achetons sous le label « cacher » atteint de tels prix ! Rapidement, nous avons compris grâce aux divers renseignements récoltés que les conditions d’abattage contemporaines ne facilitent pas du tout le travail des organismes de surveillance rabbinique : à la place de l’abattage local, opéré dans la cour du fermier par la main experte du Cho’het du village, l’abattage moderne exige que la che’hita soit effectuée dans des grands abattoirs, ce qui modifie considérablement la chaîne de travail habituelle. Or pour qu’une che’hita soit kachère, il faut que le cho’het travaille dans des conditions de tranquillité optimales, et puisse vérifier les poumons avec précaution et temporisation. Rapidement, nous avons pris conscience que l’abattage moderne entraînait de grands frais, et que les différences de prix avec la viande non-kachère étaient ainsi justifiées.
De plus, nous avons compris combien les hommes restent encore de nos jours importants dans la réalisation d’une che’hita de qualité, ainsi que nous allons le développer dans les pages qui viennent, et conclu en reconnaissant que la volonté de certains d’entre nous d’ob-tenir une che’hita impeccable et une viande aussi « glatt » que possible était complètement légitime.

 

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