156 – Juillet 2012 – Business et Tora

Voici notre numéro de Tamouz, et nous vous en souhaitons bonne lecture !
Souhaitons la bienvenue en particulier à tous les nouveaux abonnés et lecteurs qui nous ont rejoints ces derniers mois.
Nous espérons qu’ils auront du plaisir à lire Kountrass, tout comme les fidèles abonnés – certains le sont depuis le lancement de Kountrass, il y a 26 ans !
Le présent sujet, « Tora et business », peut sembler a priori ne concerner que les directeurs d’entreprises, mais le lecteur découvrira bien rapidement que ce n’est pas le cas : nous sommes confrontés à ces questions tous les jours, et surtout quand on souhaite investir (et pour cela, il suffit d’être un employé et de pouvoir mettre de l’argent de côté pour la pension ou pour la formation…).
Bonne lecture !

Logo de Kountrass

En Erets Israël, chacun a le droit de vivre selon ses propres croyances, dans une société qui se veut pluraliste et ouverte.

En théorie. Sur le terrain, cette société se montre, dans les heures de crise, d’une fermeture et d’une malhonnêteté incroyables.
Donnons un premier exemple. Certains Juifs ont décidé de vivre dans les territoires de Judée et de Samarie.
L’Etat les y a invités, et les a soutenus dans leurs constructions. Mais il s’est avéré, plusieurs décennies  plus tard, que des  » propriétaires  » arabes se sont rappelé que ces maisons ont été construites sur leurs terrains. Où étaient-ils durant toute cette période ? Pourquoi faut-il que ce soient des groupes d’extrême-gauche qui les représentent ? Et pourquoi cette question n’est-elle
pas débattue dans le cadre d’un tribunal normal, avant de passer à la Cour suprême (une Cour suprême étant destinée à arbitrer et non à prendre des décisions) ?
Et puis, pourquoi ne pas remettre en question nombre d’autres  » implantations  » du pays, comme par exemple certaines parties de Tel Aviv, des terrains sur lesquels sont bâties certaines universités du pays, etc. ?
Il est difficile de ne pas se demander si, finalement, le problème posé n’est pas tout simplement celui de l’acceptation de la politique des gouvernements précédents,  en particulier et surtout par rapport aux  » implantations dans les territoires occupés « , comme ils disent, et si ce n’est pas là une nouvelle émergence de l’inacceptable ingérence de groupes d’extrême-gauche dans la vie du pays, par le biais de la Cour suprême qui les représente et oeuvre selon leur agenda.

10.00 € - Ce numéro Kountrass livré chez vous

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

*

Derniers de Non classé

Vers le Haut