Le numéro quarante de Kountrass para1t quelques jours après la disparition du rav ‘Hayim Yits’haq Chajkin ? »:îT, qui fut à partir du lendemain de la Seconde Guerre mondiale le roch yechiva d’Aix-les-Bains. Nous publions ici quelques pages retraçant l’oeuvre remarquable de bâtisseur que cette grande personnalité tor.anique a accomplie durant les quarante et quelques années qu’il vécut en France.
C’est Moscou qui attiré notre attention en ces périodes qui troublent la Russie : notre envoyé spécial s’y est rendu avant Pessa’h pour prendre connaissance de la situation du judaïsme russe actuel ; il en est revenu avec d’intéressantes descriptions d’un judaïsme qui est en train d’émerger du silence dans lequel il a été enseveli par 70 ans de communisme. Nous visiterons avec lui la Yechiva la plus dynamique de Moscou aujourd’hui et ferons connaissance avec quelques-uns de ces jeunes qui ont quitté au prix de grands sacrifices leur famille et leur société pour se lancer dans une voie si éloignée de la mentalité russe, celle de la religion ! Cette enquête nous mènera également dans la Grande synagogue de Moscou, où Kountrass recueillera une interview exclusive du rav de toute la Russie, le jeune et enthousiaste rav Pin’has Goldschmidt.
D’autres articles prennent place dans ce numéro, tel celui sur la « Tora et la pédagogie moderne », dû à la plume d’un des grands éducateurs contemporains décédé voici quelques années, rav ‘Hayim Friedlander ? »:îT, tandis que certains de nos lecteurs, de leur côté, nous ont fourni, par leurs intéressantes questions, matière à plusieurs exposés dont nous espérons que chacun profitera.
Certains de nos lecteurs, nous le savons, attendent avec impatience les projets que nous annonçons, en particulier celui du dossier Kabbale. Insistons à nouveau sur le fait que ces dossiers ne sont signalés qu’à titre indicatif: nous ne prenons aucun engagement quant à la date de leur parution, car certains articles ou dossiers demandent réflexions, préparatifs et recherches et il n’est donc pas toujours possible de prédire à l’avance à quel moment le travail sera achevé. Nous espérons que ces lecteurs impatients, ainsi que tous les autres, nous pardonneront et nous leur souhaitons en attendant bonne lecture de la présente livraison.
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