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1 – Novembre 1986 – La Chemita – l’année sabbatique. La controverse sur la vente.

Au seuil de cette nouvelle année, c’est avec joie que notre équipe vous présente, en même temps que les premiers fruits de son travail, ses plus sincères et chaleureuses berakhoth. Pourquoi ce « Kountrass »? Le contenu de ce premier numéro pourra vous donner un début de réponse, pour cette fois entièrement consacré au thème de la Chemitta. Notre prochain numéro, qui proposera un dossier spécial sur ‘Hanoucca, comprendra les rubriques suivantes

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47 – Juillet 1994 – Le Cha’atnez

EDITORIAL :

Le domaine du chaatnez, un des interdits les moins connus et les moins compris de la Tora, alors qu’il concerne un aspect tout à fait quotidien de la vie humaine, l’habillement. Obligation impor-
tante, dont nous ferons un tour d’horizon dans le dossier ci-inclus. Peut-être le choix d’un tel sujet surprendra- t-il certains, à l’heure où le débat sur laïcité et orthodoxie est plus brûlant que jamais, tant en France qu’en Erets Israël ! Justement, nous te- nons à prouver – et c’est notre vocation depuis le premier numéro de Kountrass – que le monde de la Tora ne prône pas un intégrisme farouche mais bien le respect absolu de cette Tora donnée il y a près de 4 000 ans au mont Sinaï, reçue par le peuple juif dans son ensemble, puis transmise au cours des générations. Nous voulons qu’elle soit observée, telle que nos Maîtres nous l’ont décrite et commentée, telle que nos penseurs et nos kabbalistes nous l’ont expliquée et révélée. Elle exige de nous attention et étude, non point violence et sauvagerie. Il s’agit aussi pour nous de rappeler que le judaïsme s’est toujours défini comme orthodoxe, depuis les prophètes, en passant par la Michna et la Guemara, par les Gueonim et les Richonim, unité que l’éclatement du savoir humain lors de la Renaissance n’a en rien altéré. Si les uns ont gardé le cap sur une interprétation talmudiste classique de la loi, si les autres ont choisi de pratiquer la Tora dans l’esprit de la ‘hassidouth, et si d’autres encore se sont imprégnés des idées de la Kabbala, tous ont respecté au pied de la lettre la Tora telle qu’elle a été donnée par notre Maître Moché.

 

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48 – Septembre 1994 – A la recherche des tribus perdues

EDITORIAL :

Le dossier que nous présentons traite d’un sujet peu connu du public français : celui des Dix Tribus perdues. Ces tribus ont quitté il y a quelques millé-naires la « maison-mère », et depuis, leur disparition n’a cessé de troubler les esprits, suscitant une mul-titude d’hypothèses et un grand nombre d’expédi-tions entamées à diverses époques dans l’espoir de retrouver leur trace. L’absence des Dix Tribus entrave l’accomplissement de certaines mitswoth de la Tora liées à la Terre d’Israël ; leur retour fait partie des éléments constitutifs accompagnant la venue du Messie.
Au fil des siècles, à plusieurs reprises, des re-cherches ont été entreprises, des « émissaires » ont été envoyés par nos communautés, d’autres sont venus à nous s’annonçant comme représentants des tribus perdues. Aujourd’hui encore, certains mordus s’intéres-sent à ce sujet mystérieux et pensent avoir décou-vert la trace des dix tribus en Asie, au sein de certaines peuplades de Malaisie, ou en Afghanistan. Persuadés que ces Pathans et ces Bené Menaché ont été autrefois en contact avec le peuple juif, dans un débordement de zèle quelque peu excessif, ils vont jusqu’à convertir des groupes de personnes issus de ces peuplades et les amènent en Erets Israël ! Or il ne s’agit pas de tribus comptant quel-ques dizaines ou même centaines de personnes mais de populations immenses, évaluées à des di-zaines de millions d’habitants. Effaré par ces chif-fres impressionnants, Ouri Gordon, responsable de l’aliya à la Sokhnoutll’Agence Juive lance ces jours-ci un cri d’alarme : il exprime sa crainte de voir des peuples entiers du tiers monde asiatique venir frap-per à la porte d’Israël. Attirés par le niveau de vie occidental du pays, de loin supérieur aux condi-tions dans lesquelles ils vivent, convertis sans trop de mal par des personnes irresponsables, ils risquent de nous envahir en invoquant la Loi du retour Juste retournement des choses ?

 

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49 – Novembre 1994 – l’affaire Dreyfus. Rabbi aharon Westheim zatsal

EDITORIAL :

Nous abordons plusieurs themes tout a fait differents en esperant que cette diversite plaira aux lecteurs et constituera une heureuse variation por rapport au dossier monographique, parfois un peu ardu… Rav UJestheim z. ts. I. est decede, alors que noire precedent numero etait sous presse. Quelques pages rendent hommage a ce pionnier de l’etude de la Tora en France a l’epoque moderne. A l’occasion du centenaire de la condemnation de Dreyfus, trois articles sant consacres a des facettes moins connues de l’Affaire. Dans l’un, I’auteur presente la position des rabbanim de l’epoque et leur comportement, l’outre brosse un tableau de la communaute juive au temps de l’Affaire : on verra d’ailleurs qu’elle n’etait pas aussi eloignee du judaisme qu’on ne le pence en general. La curieuse volonte des Juibs de faire carriere dons l’armee fait l’objet d’une troisieme etude dons ce domaine. Le Grand rabbin de France a accorde a Hountrossune interview exclusive, dans laquelle nous tentons ensemble de comprendre les tenants et les aboutissants des recents bouleversements au sein de la communaute juive francoise. Un article d’Humeurs » souleve un sujet important pour nombre de Juifs autour de nous : l’etude de la Tora ou prix d’une assistance de la societe.

 

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50 – Janvier 1995 – Le miqwé

EDITORIAL :

Nous avons décidé de consacrer ce numéro 50 à l’un des éléments les plus importants du judaïsme : le miqwé. Comme on le sait, le rav Israël Méïr Kagan, l’auteur du Michna Beroura, détermine que pour obtenir les fonds nécessaires à la construction d’un bain rituel, une communauté juive a même le droit de vendre ses Sifré Tora, ces objets de culte les plus saints. Ce qui souligne bien l’aspect fondamental de cette loi dans la vie juive. Il n’y a plus aujourd’hui de communauté en France qui n’ait son propre établissement, et les temps sont révolus où l’on pouvait concevoir la construction d’un beau temple sans se soucier de la pureté familiale si essentielle à notre vie juive. Malgré cela, il nous a semblé qu’il n’était pas inutile de présenter à nos lecteurs une information aussi large que possible en ce domaine : on ne peut pas vraiment dire que les miqwaoth soient sur-encombrées ; beaucoup de personnes ignorent parfois des détails importants de la pratique et il était donc important d’aider à diffuser ce message. Cependant, pour des raisons évidentes de pudeur, il était exclu d’engager dans ces pages une campagne directe en faveur des lois de pureté familiale. Nous avons plutôt choisi de présenter les divers aspects techniques liés à la construction du miqwé, les difficultés rencontrées et les solutions possibles. On trouvera un article de fond signé du rav Ariyé Kaplan. Nous avons également fait un rapide tour d’horizon des anciens établissements de miqwé préservés jusqu’à nos jours. Quelques thèmes inhabituels ont été abordés : vous saurez enfin pourquoi les hommes vont au miqwé et pourquoi il faut également y tremper ses nouveaux ustensiles de vaisselle. Il s’agit donc surtout d’une présentation du miqwé comme agent servant à atteindre la pureté.

 

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52 – Mai 1995 – Tora et Sida

EDITORIAL :

Fléau des temps modernes, le sida touche des millions de personnes sur tous les continents. On parle d’une pandémie, semblable à celles qui frappèrent l’Europe au Moyen Age. Ceux qui sont, que D. noue protège, contaminés par cette terrible maladie, souffrent d’une manière horrible, et le devoir le plus élémentaire de chaque Juif est de leur prêter assistance dans la mesure de ses moyens.
Cette pandémie prend des proportions de plue en plus effrayantes, elle arrive, hélas, aux portes même de notre communauté, et nous interpelle : des questions à propos de la justice divine jaillissent à l’esprit, d’autant plus que le virus attaque de façon spécifique certains groupes humains, phénomène presque inexistant dans le cas du cancer ou d’autres maladies graves. ❑sera-t-on en déduire que c’est la justice divine qui châtie ainsi les hommes coupables d’un comportement répréhensible ? Position insoutenable pour plusieurs raisons : d’abord, le virus frappe également des Innocents’ ; ensuite, qui sommes-nous pour nous permettre d’interpréter les actes de D. et prétendre être son porte-parole ?

 

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53 – Juillet 1995 – En souvenir de rav Moché Soloveitchik

EDITORIAL :

Un grand deuil nous frappait au moment de la mise sous presse du précédent numéro – avec la disparition de rav Moché Soloveitchik z. te. 1. de Zürich. Notre revue perd ainsi un guide aux précieux conseils qui ne nous a pas ménagé son actif soutien. Quant au judaïsme, il sera désormais privé d’une des plus éminentes autorités rabbiniques contemporaines – bien qu’il ait été relativement peu connu du grand public, car le rav Soloveitchik se distinguait par une discrétion et une modestie aussi profondes que naturelles. Nous lui consacrons un bref hommage.
Le rabbin Samy Klein 7″•r a été fauché dans la fleur de l’âge par les balles de la Gestapo il y a 51 ans, le jour du jeûne du 17 tamouz 1944. Nous présentons ici la biographie de cette figure qui nous semble exceptionnelle, tant par son indépendance d’esprit et par l’originalité de ses positions personnelles que par sa conception du judaïsme et ses projets pour l’avenir des Juifs de France. Disparu avant l’âge de trente ans, il a réussi au cours de sa brève existence à faire des études à l’Ecole rabbinique, à aller découvrir pendant un an une des plus grandes Yechivoth lituaniennes de l’époque (Telshe) et à devenir, durant la guerre, un des dirigeants de la communauté juive à la dérive. Les festivités ayant marqué le 50′ anniversaire de la libération des camps et de la victoire sur les nazis nous ont également incités à publier un article sur l’attitude des Alliés face au génocide de notre peuple. Alors que l’existence des camps d’extermination était déjà connue, et que de toutes parts des Juifs dans le monde libre lançaient des appels désespérés pour une action militaire contre les camps ou leurs voies d’accès, les Alliés refusèrent obstinément d’engager leur aviation. Pourquoi ?

 

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55 – Novembre 1995 – Le juste frappé par le sort

EDITORIAL :

Ce numéro paraît au moment où l’assassinat du Premier ministre Rabin bouleverse l’ensemble du peuple juif en Erets Israël, toutes tendances confondues. A notre grande honte, il a été perpétré par un Juif, s’affirmant religieux de surcroît, portant une kipa et déclarant étudier la Tora et ses lois. Un tel acte ne peut être justifié, ni par un débat idéologique, ni par des divergences politiques, ni par un sentiment d’injustice, aussi vif soit-il. C’est tout simplement un homicide et constitue une transgression d’un des Dix Commandements. Le Judaïsme orthodoxe a unanimement condamné cet assassinat politique, acte inadmissible, impardonnable.

 

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56 – Janvier 1996 – Le ‘hatam Sofer contre la Réforme

EDITORIAL :

Le numéro que voici traite d’un thème historique : les réactions du judaïsme orthodoxe face au développement de la Réforme, et le rôle de premier plan qu’a joué à cette époque le rav Moché Sofer, plus connu sous le nom de liatham Sofer, d’après le titre de son principal ouvrage. Un autre article, faisant suite à la parution d’une sorte de manifeste du mouvement massorti de France, prouvera combien le débat d’alors est resté actuel.
Voici quelques mois déjà un évènement a fortement troublé les esprits tant en Erets Israël que dans le monde : un jeune Juif, se présentant comme religieux, a commis un meurtre sur la place publique. Notre précédent numéro n’ayant paru que quelques jours après l’affaire, nous n’avions pas à ce moment assez de temps ni, d’une certaine manière, de recul, pour exposer les réactions du judaïsme orthodoxe face à cette tragédie aux lourdes conséquences.

 

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58 – Mai 1996 – Tora et Musique

EDITORIAL :

La musique et la Tora. Il nous a semblé important d’aborder ce thème, à la fois à cause de l’influence que peut avoir la musique, mais aussi pour susciter une réflexion sur les excès qui ont eu lieu dans ce domaine.
Encore plus que les arts plastiques, la musique sait pénétrer jusqu’à notre âme et la faire vibrer. Nos textes, qui se sont appliqués à décrire ce phénomène, nous permettent de percevoir avec l’aide des commentateurs ses incidences variées, notamment à travers l’image biblique de Youval : la musique peut être utilisée dans une optique entièrement spirituelle aussi bien qu’orientée vers les dépravations les plus profondes.

 

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59 – Juillet 1996 – La Yechiva

EDITORIAL :

Ce numéro de Kountrass vous parvient pendant les fêtes, à l’heure où l’ensemble du peuple juif élève sa prière et forme des voeux pour être inscrit dans le Livre de la Vie — et nous souhaitons à tous nos lecteurs qu’il en soit ainsi pour eux.
Dans la présente parution, nous publions le premier pan du dossier consacré à « La Yechiva ». Bien sûr, ce thème nous sert de prétexte pour retracer l’histoire d’un phénomène sans pareil : le développement de la Tora orale. En effet, c’est dans l’enceinte de la « Yechiva » que l’interprétation de la Tora écrite s’est structurée et les textes ainsi générés constitueront désormais la matière étudiée dans toutes les futures Yechivath à travers le temps et l’espace. Nous avons donc consacré de longues pages à l’histoire de la formation de la Michna, puis de la Guemara, tant celle rédigée à Jérusalem que celle de Babylonie, — sans oublier l’ancien et vénérable Beth haimidrach de Chem et ‘Ever. Un chapitre est également consacré à la période où la prophétie existait encore dans le peuple d’Israël, et où par conséquent des questions d’interprétation des textes pouvaient être résolues par un recours au prophète, avec les problèmes que cette intervention soulève.

 

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60 – Septembre 1996 – La Yechiva. période des guéonim

EDITORIAL :

Le présent numéro de Kountrass propose au lecteur la suite du dossier « La Yechiva ». Nous couvrons ici la période des Gueonim, qui s’étend de la clôture de la Guemara jusqu’aux hautes écoles du Moyen Age. Les articles brossent un tableau de l’évolution de la Tora en Babylonie, mais évoquent aussi les débuts du développement des communautés dans les autres régions du monde juif de l’époque. Nous avons préféré pour diverses raisons nous limiter à ces cinq siècles, qui ont donné lieu à un travail de mise au point fondamental dans la transmission de la Tora. Dans la période suivante, appelée l’époque des Richonim, on assistera à des transformations d’un tout autre genre, comme nous le verrons dans le prochain numéro, si D. veut.

 

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61 – Décembre 1997 – Les Croisades

EDITORIAL :

L‘année 1996 a été marquée par le 900e anniversaire de la première Croisade : il n’était pas pensable de tourner la page sans consacrer quelques articles à cette période noire de notre histoire, d’autant plus que c’est la communauté juive de France, aux côtés de celle d’Allemagne, qui a le plus souffert de l’appel exhortant les chrétiens à aller délivrer Jérusalem. Le dossier « Croisades » que vous trouverez dans ce numéro comporte des récits de l’époque présentant des scènes parfois fort violentes ; il analyse les répercussions de ces événements traumatiques sur la Halakha ou sur la pensée juive de l’époque ; en conclusion, il s’interroge également sur l’impact réel des Croisades sur le Judaïsme européen : ont-elles vraiment provoqué des changements profonds ?

 

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62 – Fevrier 1997 – Les Richonim

EDITORIAL :

Le présent numéro de Kountrass reprend le dossier « La Yechiva » abandonné dans la précédente parution : nous avons pensé en effet que notre revue ne pouvait pas laisser passer l’année 1996, triste 900ème anniversaire du début des Croisades, sans lui consacrer un numéro spécial. Et il est vrai que ce sujet touchait la période que nous voulons traiter ici, celui du Judaïsme durant le Moyen Age. La période des Richonim est une période essentielle dans l’évolution de l’étude des Yechivoth : si les temps de construction de la Guemara forment la trame essentielle de l’étude, si les Gueonim la complètent et lui donnent sa structure, celle des Richonim en donne les clefs indispensables ! Rachi et les sages français ont créé l’appareillage indispensable à la compréhension du texte, et les sages espagnols ont amené l’étudiant en Talmud à en saisir la dimension extrême. Bien sûr, la Yechiva en tant qu’institution a également fonctionné durant cette période, mais en catimini : les jeunes se regroupaient autour du rav, et habitaient simplement chez lui, comme nous le verrons dans un article consacré à ce sujet. La « grande » Yechiva ne commence que plus tard, en réalité à la fin du XVIllème siècle, sujet que nous avons dû laisser aux prochains numéros.

 

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69 – Aout 1998 – Les sectes

EDITORIAL :

Cette fin de 20ème siècle semble bien se singulariser par un phénomène nouveau, celui d’un éveil spirituel. Nous autres, hommes de religion, ne pourrions à première vue que nous en féliciter ! En réalité, si, comme nous le montrions dans notre numéro précédent, ce renouveau s’illustre par une vague de fond de retour à la Tora, et une volonté de bouleverser les données en présence sur l’échiquier politique israélien, cette aspiration à une religiosité plus interne suscite également des phénomènes négatifs : des myriades de jeunes israéliens, troublés par ces questions, vont à la recherche d’expériences et de réponses, qui au Tibet, qui aux Indes ; en Erets Israël, d’autres opportunités s’offrent à ces jeunes, au travers de groupes  » religieux  » qui, pour la plupart, ne sont qu’un ramassis de sectes redoutables d’où l’on ne ressort pas ; des jeunes Juifs, même en France, se laissent happer par des groupes aux intentions douteuses. Ceci, pour n’évoquer que notre communauté. Quant aux enfants de tous pays… Ces démarches s’enracinent en un trouble existentiel flagrant, qui facilite l’action délétère de ces mouvements censés détenir les formules susceptibles de ramener les jeunes à la béatitude paradisiaque perdue. Cet ensemble de faits, comme l’inquiétude et les périls qui en découlent, ont amené notre rédaction à concevoir un numéro spécialement consacré au phénomène des sectes.

 

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70 – Octobre 1998 – Le divorce dans la Tora

EDITORIAL :

Le présent numéro, dont le sujet central est  » le divorce dans la Tora « , s’attache à faire le tour d’un sujet délicat, qui intervient dans un contexte humain douloureux au possible, à savoir celui des couples qui sont acculés à la rupture. Nous voulions parler à ce propos technique et Halakha, mais il est bien évident que nous avons été amenés à nous pencher également sur les efforts déployés pour ramener le Chalom bayith dans les familles en crise, tant dans la théorie que dans la pratique, et, d’un autre côté, nous nous sommes intéressés aux principales victimes de séparations, à savoir les femmes. Un organisme nommé A `hayoth tente, à Jérusalem, de les aider dans leur isolement, et ce souci méritait très certainement que nous lui consacrions toute notre attention. Et qui se charge de courir après les maris récalcitrants ?

 

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71 – Janvier 1999 – Terre de pèlerinage

EDITORIAL :

Faire du tourisme en Erets Israël — c’est le programme que s’assignent beaucoup de nos correligionaires lorsqu’ils habitent à l’étranger, et bien plus souvent lorsqu’ils résident dans le pays. Il y a la plage, et il y a la montagne. Et il y a les pèlerinages : l’imposant passé historique d’Erets Israël a laissé de très nombreux sites renommés, qui attirent de nombreux visiteurs, religieux ou non, tandis que les innombrables anciennes tombes des plus hautes personnalités de notre peuple intéressent beaucoup de gens qui désirent épancher leur âme, ainsi qu’a été fait de génération en génération en ces lieux de sépultures de nos grands Maîtres. Cette branche très particulière du tourisme n’est pas le fait du grand public, et les ouvrages qui lui sont consacrés ne sont pas très connus. Nous avons donc pensé intéressant de consacrer un dossier à ce sujet, pour permettre à nos lecteurs de découvrir et d’accéder eux aussi à ces lieux. La question de leur identification a aussi retenu notre attention, d’autant plus que certains organismes se consacrent encore aujourd’hui à la réfection et à l’entretien de ces vieux sites. Comment sait-on de nos jours identifier formellement un lieu de sépulture ? Quelle tradition précise nous permet-elle d’affirmer que tel ou tel Sage, décédé il y a deux millénaires, a trouvé le repos dans un des endroits les plus reculés des forêts galiléennes ?

 

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72 – Mars 1999 – Le judaisme allemand d’aujourd’hui. interview du rav Ravitz

EDITORIAL :

Une grande enquête sur le Judaïsme allemand nous amène à parler de nos voisins – non sans une certaine angoisse. L’occasion nous est donnée ici de constater à quelle catas-trophe peut arriver une communauté dépourvue de structu-res solides. On trouve là un exemple cuisant du chaos qui frappe la plupart des communautés européennes auxquelles manque toute organisation interne…
Nous n’en avons pas encore terminé avec le dossier sur « Le Christianisme vu par les Juifs » lancé dans notre précé-dent numéro. Nous n’y avions abordé alors que l’aspect théorique du sujet, et jeté un regard vers le passé. L’actua-lité reste cependant incontournable, et les Juifs qui rési-dent en Erets Israël offrent une cible particulièrement atti-rante pour de nombreux missionnaires chrétiens, et cela plus encore quand, à l’approche de l’an 2000, ceux-ci vien-nent à être pris d’une véritable frénésie. Aussi nous a-t-il paru important de découvrir ce qui se passe ici, sur le terrain, en Erets Israël.

 

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73 – Juin 1999 – La cacherouth – nouveaux horizons

EDITORIAL :

Le sommaire du présent numéro est de ce fait composé de divers articles quelque peu disparates. Le rav Moché Kaufman publie ici un extrait, adapté par nos soins, d’un livre important dont il est l’auteur, contenant des réflexions sur des problèmes touchant à l’éducation. Cette personnalité française, qui dirige un Kollel à Bené Braq, est connue pour ses ouvrages publiés dans le domaine des lois concernant l’usage de la parole et dans celui de la pédagogie juive. Le sujet de cet extrait est tout à fait d’actualité, puisqu’il aborde le thème de la destruction du Temple, mais il déborde en fait sur des problèmes touchant à notre façon de nous conduire envers autrui, ce qui nous concerne au plus haut point.
Un autre article, qui présente l’évolution de la Cacherouth à notre époque, nous fera découvrir des aspects peu connus de ce domaine dont l’importance nous touche pourtant si quotidiennement…

 

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74 – Septembre 1999 – 50 ans au service du Judaisme francophone : Ozar haTorah

EDITORIAL :

La Seconde Guerre Mondiale a laissé le judaïsme européen brisé et meurtri. La majeure partie de ses enfants avait disparu dans la tourmente. Dans le même temps, l’effondrement spirituel dont souffraient les communautés d’Afrique du Nord et d’Asie mineure se poursuivait à pas de géant. Encore quelques années, et il ne res-terait plus rien des traditions juives autrefois florissantes de ces pays. Les synagogues se vidaient, les enfants quittaient la communauté. La Tora gisait dans un recoin abandonné du lieu de prières, et la poussière s’accumulait sur ses ouvrages. Quelques hommes se sont dressés, et ont sauvé la situation : un Juif polonais en Iran, un Juif libanais, ainsi qu’un autre, d’origine lituanienne dirigeant d’une Yechiva, aux Etats-Unis, un Juif hongrois au Maroc, et tous ces gens de bonne volonté ont lutté opiniâtrement, contre vents et marées, pour redonner vie à l’éducation juive dans le monde séfarade, d’abord en Perse, ensuite au Maroc, puis, par ricochet, en France. Ils ont créé des écoles, engagé des enseignants et des directeurs, et géré toutes les difficultés humaines que cela comportait. Pour pouvoir trouver les budgets de ces institutions, et y perpétuer ainsi l’enseignement du judaïsme, ils ont dû collecter des millions et des millions de dollars, le tout, sans que personne n’ait connaissance de leur dévouement et de leur grandeur.

 

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75 – Novembre 1999 – Les autistes parlent !

EDITORIAL :

Pour la présente parution, donc, nous avons choisi de rouvrir le dos-sier  » Autistes « , auquel nous avons déjà consacré un article (KouNTRAss n° 39), tant ce phénomène a reçu ces dernières années d’intéressants éclaircissements et a donné lieu à de nouvelles expériences.  » Etude de la Tora et travail  » – voilà un sujet explosif dont il suffit de murmurer le titre pour que se tendent les oreilles et qu’éclate le débat… Un texte du rav Kaufmann nous a semblé aborder la question d’une manière remarquable, et il nous a autorisés à publier son analyse en exclusivité dans nos colonnes. L’article intitulé  » Les services secrets de Bouqi  » nous fait pénétrer par un tout autre biais dans le monde de l’adolescence et de l’étude de la Tora, celui des jeunes qui éprouvent précisément quelques difficultés dans leur étude : qu’il aille travailler, dira-t-on justement. Eh bien non ! D’abord parce que ce jeune, à l’instar de tant d’autres, sait très bien combien peut procurer d’équilibre et de calme l’étude de la Tora, et aussi parce qu’aujourd’hui, contrairement à ce qui pouvait se pas-ser dans les générations précédentes, le monde des Yechivoth refuse la démission ! De grands efforts sont faits, dans de nombreux domaines et sous de nombreuses formes, pour aider les jeunes en difficulté ou en crise à se comprendre mieux ou à trouver qui pourra les aider à retrouver le plaisir dans l’étude.

 

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76 – Janvier 2000 – Le Judaisme d’Algérie

EDITORIAL :

Voici donc enfin ce dossier longtemps annoncé sur les Juifs d’Algérie. Nous avons finalement été contraints de le diviser en deux parties, tant les sources étaient nombreuses. Disons aussi que l’intérêt des lecteurs peut parfois s’étioler lorsque nous consacrons tout un numéro à un sujet ou à une communauté spécifiques. Nous avons donc tenu à publier quelques autres textes, afin d’assurer un certain équilibre à notre publication.
La première partie du dossier sur le judaïsme d’Algérie, qui paraît dans ce numéro, est consacrée à une grande fresque historique. Nous aurions pu la présenter de manière plus concise, mais nous nous sommes rendu compte au fur et à mesure de la préparation du dossier, qu’en fait le volet consacré aux périodes anciennes concernait les trois grands pays d’Afrique du Nord, voire la Libye et l’Egypte, et nous avons donc jugé bon de nous y attarder. La seconde considération qui nous a incités à cette relative prolixité a été la présence successive en Algérie de trois grands Sages : le Rivach, le Tachbets et rabbi Yehouda Ayache. Ils comptent tous les trois parmi les figures les plus marquantes de notre peuple, et l’occasion était trop bonne de leur consacrer une biographie complète.

 

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77 – Mars 2000 – Le Magen David

EDITORIAL :

Le présent numéro est exceptionnel – en volume. La rédaction avait lancé un projet : s’interroger sur l’origine du Maguen David. l’illustration de couverture et de notre logo, due à Ya’aqov (Jacques) KASZEMACHER – Photographe, peintre et géomètre mystique
On est étonné de voir un ‘hassid peintre et photographe, propriétaire d’une galerie d’art à Safed (Tsefath), dont les peintures d’art cinétique et géométrique rappellent le style d’Agam ou de Vasarely, avec une pincée d’Escher. C’est que Ya’aqov Kaszemacher n’est pas un ‘hassid ordinaire. Né à Lyon en 1941 de parents d’origine polonaise, il grandit à Paris dans un milieu totalement assimilé et commence à peindre à l’âge de 23 ans, après un périple mouvementé qui le conduit des grandes cités américaines aux jungles de l’Amazonie, en passant par l’Amérique centrale. C’est à Tanger, au Maroc, qu’il découvre la peinture géométrique en étant fasciné par un mur de mosaïque derrière une fontaine. Désormais, il se passionne pour la géométrie, qu’il considère comme un art universel, la musique de l’oeil. En 1971, Ya’aqov découvre le Judaïsme et opère sa `hazara bitechouva.

 

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78 – Mai 2000 – Le judaisme d’Algerie

EDITORIAL :

C‘est avec grand plaisir que nous avons l’honneur de présenter le présent numéro de notre revue avec la seconde partie du dossier consacré au Judaïsme d’Algérie. Le premier volet de ce dossier, paru dans notre numéro 76, portait sur une description générale de la présence juive en Afrique du Nord depuis l’Antiquité. Profitant de ce panorama, nous nous sommes penchés sur l’origine de cette présence, complétant ainsi une lacune sur le sujet : nous avions déjà tenté de dégager les grandes lignes du judaïsme tunisien, mais en survolant de manière un peu superficielle les données relatives à ses origines. Cette lacune a été comblée dans les pages du début de ce dossier publié dans notre n 76, lorsque nous avons poursuivi notre promenade dans l’Algérie voisine, décrivant l’histoire de la communauté juive qui s’est développée dans ce pays jusqu’à son exode définitif. Le lecteur qui n’a pas eu l’occasion de faire connaissance avec ce dossier s’y référera utilement. Il restait à parler des diverses grandes communautés algériennes — et c’est ce que nous proposons dans le présent numéro.

 

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79 – Juillet 2000 – En du rav Philippe kohn zatsal

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Le présent numéro est consacré au rav Ya’aqov Philippe Kohn zatsal.
La disparition de l’un des piliers du judaïsme français et du chef de l’une des grandes familles de nos communautés imposait un tel hommage, que KOUNTRASS se devait de faire partager. Ainsi que le lecteur pourra le découvrir dans nos colonnes, nous avons beaucoup à apprendre du rav Kohn : à la fois bâtisseur-né, éducateur hors pair et homme de Tora, il s’est attaché, partout où il a vécu, à créer des cercles d’étude et des structures d’enseignement, sachant accorder à autrui une attention vigilante et un soin de tous les instants.

 

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80 – Septembre 2000 – Le chabbath

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Chabbath ! Ce numéro paraissant pour tichri, c’était là un sujet tout à fait adéquat, le Chabbath étant, comme nous le verrons dans le cadre du présent numéro, le souvenir de la Création. De plus, l’année 5761, que nous souhaitons bonne tant pour nos lecteurs que pour tout le peuple juif, sera une année de chemita, le « Chabbath de la terre ». Que dire du Chabbath ? Nous avons tenté, dans les esquisses que nous soumettons aujourd’hui à nos lecteurs, de faire le tour de cette journée, la plus importante de la semaine juive, sous ses aspects les plus divers : pensée, Halakha, histoire, société, etc. Même si nous lui avons consacré tout un numéro de notre magazine, nous avons tout de même voulu diversifier quelque peu les sujets, et nous faisons également paraître un article sur un sujet d’une tout autre actualité : la loi de la majorité telle que la voit la Tora, et telle qu’elle peut être considérée dans son contexte politique actuel. Un important texte de réflexion.

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81 – Novembre 2000 – La chemita

EDITORIAL :

Nous voici à présent plongés en pleine année de Chemita. Plus que les autres années, il nous a semblé que le public qui est le nôtre rencontrait des difficultés pour savoir comment s’y prendre, sans doute parce qu’un nombre croissant de personnes veulent respecter au pied de la lettre cette mitswa exceptionnelle. Nous avons déjà eu l’occasion, les fois précédentes, de nous pencher sur ce sujet, dans le cadre du magazine. Ces derniers mois, nous avons également consacré dans KOUNTRASS-NEWS plusieurs articles aux diverses questions relevant de cette mitswa. Nous avons cependant recueilli l’impression qu’il était important de faire paraître ici, dans notre magazine, un article de fond sur le sujet. Il faut éviter, en effet, que l’attention du lecteur ne se détourne, le temps que paraisse un nouveau numéro du NEWS. Il est également nécessaire de lui permettre de savoir, dès le début de l’année, ce qu’il devra faire au fur et à mesure que s’écoulera la période qui est consacrée à ce commandement, si tant est que nous soyons pour lui la source unique de renseignements halakhiques sur le sujet.

 

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82 – Janvier 2001 – Le rav Hirsch zatsal

EDITORIAL :

A l’occasion de la parution du deuxième tome en langue française u commentaire de rav Samson Raphael Hirsch sur le Pentateuque, édité sous l’égide de notre revue, il nous a paru intéressant de consacrer l’essentiel d’un numéro du magazine à cette personnalité marquante du Judaïsme moderne. Comme chef spirituel d’une communauté frappée bien plus profondément que les autres par l’assimilation et flanquée de toutes parts de lieux de culte réformé, rav Hirsch a été probablement la première autorité rabbinique de son siècle à avoir su trouver une réponse adéquate aux interrogations que suscitait l’émancipation. C’est sous sa direction que la communauté d’antan a commencé à reprendre du terrain et qu’elle a entrepris de remonter la pente sur laquelle elle se laissait glisser. Alors que, sur tout le continent européen les communautés juives perdaient de leur influence et que les Juifs cherchaient à se fondre dans leur environnement direct, rav Hirsch a réussi en Allemagne ce que l’on pourrait appeler un coup de maître.

 

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83 – Mars 2001 – La vache folle

EDITORIAL :

Nous nous acquittons dans le présent numéro de notre magazine d’un devoir envers une personnalité rabbinique éminente, décédée il y a quelques mois, rabbi Mordekhaï Miller zatsal. Nombreuses sont, en effet, les femmes originaires des pays francophones qui ont fréquenté le Séminaire de Gateshead, et qui ont profité des enseignements qui y ont été donnés — par rabbi Miller en particulier. Nous nous sentions donc tenus de consacrer un tel dossier à ce rav, auquel est tant redevable notre communauté. Nous n’aurions pas pu fermer ce dossier sans y faire paraître un extrait de cours du rav Miller, le tout formant donc un ensemble quelque peu long, mais que nous pensons être d’intérêt public.

 

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84 – Juin 2001 – L’image dans la Tora

EDITORIAL :

L‘image dans la Tora « Tu ne te feras point d’idole ni d’image de ce qui est en haut dans le ciel ou en bas sur la terre… » Qui, parmi nous, a-t-il hésité un seul instant avant de prendre la photographie d’un homme ou d’un animal quelconque ? Il suffit de parcourir les colonnes de votre revue préférée, Kountrass, et d’y recenser le nombre de photos qui y sont publiées. Il est possible, soyons en assurés, de trouver des clichés de ce genre dans tous les journaux orthodoxes du monde entier. Mais la question n’en est pas moins posée : pourquoi la chose est-elle permise ? À partir de cette question qui nous poursuit depuis longtemps, nous nous sommes lancés dans la réalisation d’un dossier qui nous a amenés finalement fort loin, comme le lecteur pourra le constater. Nous avons tenté de tracer quelques traits de Halakha dans ce domaine délicat, mais n’avons pas pu arriver à des décisions définitives, tant ce sujet est ardu. Nous avons pu prendre conscience de sa complexité en suivant l’évolution des pratiques à travers les siècles. Nous l’avons vérifié en nous penchant sur le problème des sculptures et des dessins, ainsi qu’en analysant les différentes approches dans la réalisation des pierres tombales

 

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87 – Decembre 2001 – Rav Schakh zatsal

EDITORIAL :

La parution du présent numéro intervient après la disparition de rav Schakh zatsal. Il nous fallait consacrer le dossier du présent numéro à cette éminente personnalité qui a dirigé le peuple juif durant les trente dernières années. Depuis son décès. nous avons tous été surpris par deux éléments : Jamais, de mémoire d’homme, un enterrement ne fut suivi par une telle foule ! On parle de six cent mille personnes venues ce jour-là — et c’était un vendredi, ne l’oublions pas — accompagner un Sage à sa dernière demeure. Ce n’est pas seulement parce que le public religieux s’est accru au cours des dernières décennies — phénomène auquel rav Schakh a particulièrement participé — mais certainement parce que les gens ont senti l’immensité de la perte qui frappait le peuple juif. Rarement le public qui est le nôtre a ressenti avec autant d’intensité une impression aussi forte. où se mêlait le souvenir des extraordinaires accomplissements de ce rav, caractérisés par la discrétion, l’aide à autrui, la simplicité et l’humilité exceptionnelle de ce dirigeant du peuple juif, et celui de l’incroyable appel à l’étude de la Tora qu’il avait lancé en toute circonstance, en tout lieu et en tout moment. Mais surtout le public a senti qu’il fallait faire quelque chose, prendre sur soi une amélioration de ses propres conduites, s’investir plus qu’auparavant dans l’étude de la Tora et la pratique des mitswoth.

 

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