54 – Spetembre 1995 – Tsedaka et Ma’asser

L’Habit dans la Tora

L’e présent numéro est placé sous le signe des fêtes de Tlchrl qui approchent. Pendant les Jours redoutables, l’Eternel ar­_rête le dfn à l’égard de chacun de nous ; paradoxalement, ce sont précisément les mltzwoth envers notre prochain qui ont le pouvoir d’adoucir la sentence, de faire pencher la balance en notre faveur. Noue avons donc estimé que c’est le moment propice d’ouvrir à nouveau le doHier « Tsedaqa » (traité partiellement dans notre numéro 30). On y décou­vrira des notions liées à divers aspects de la tsedaqa, comme le ma’asser et les autres obligations envers autrui ; nous tenterons de les placer dans leur cadre halakhique précis et de montrer l’originalité de la démarche de la Tora dans ce domaine. Nous nous efforcerons également de répondre aux questions : à qui doit-on donner ? combien faut-il prélever à cet effet ? comment effectue-t-on le compte ?
Par ailleurs, nos lecteurs nous ont adressé -les vacances y sont peut-être pour quelque chose -un énorme courrier. Nous croyons que leurs remar­ques et suggestions méritent d’être publiées et sommes persuadés qu’elles intéressent l’ensemble du public qui nous lit.
La situation actuelle en Erets Israël, complexe et aléatoire, suscite un grand désarroi dans la population : nous avons interrogé à ce sujet un observateur du monde religieux, le rav Israël Eichler, rédacteur en chef du Ma’hané ha’Harédl, qui a fait le point avec nous.
Dans le domaine « Médecine et Halakha », nous tentons de circonscrire les mesures à prendre -ou à ne pae prendre -lore de l’hospitalisation d’un malade en état grave : en effet, les principes guidant les médecins des hôpitaux ne sont pas du tout conformes à la Halakha, c’est le moins qu’on puisse dire. Comment affronter ce genre de situation ?

 

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La « Couronne d’Aram Tsova » est ce que les spécialistes nomment l’un des codex de la Tora les plus dignes de confiance : revu. et corrigé par Ben Acher au Moyen-Age, il a même servi d »‘étalon » pour l’écriture d’un Se/er Tora par le Rambam, et a été suivi par ce dernier grand auteur pour fixer définitivement la Halakha en ce domaine. C’est, comme on le verra, la communauté syrienne qui a conservé chez elle cet important texte jusqu’à voici quelque cinquante ans.
Enfin nous consacrons une page à un Kollel un peu spécial, qui dessert une nouvelle localité : le kollel Belth Aba, de Qiryath Séfer.
A l’aube de la dixième année de notre revue (ce numéro est le dernier de la neuvième année), il ne nous reste plus qu’à souhaiter à nos lecteurs une bonne et heureuse année, qui apporte à tous paix et prospérité, et ketlva ve’hatlma tova !

Rav H. Kahn

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